Adresse

École de Santé Publique
Campus Erasme - Bâtiment A
Route de Lennik 808 - CP591
1070 Bruxelles

+32 (0)2 555 40 13
secretariat.esp@ulb.be


Secrétariat des étudiants

Nous privilégions les échanges par mail et la prise de rendez-vous (Teams ou présentiel). Toutefois, des permanences sont assurées : voir dans les rubriques ci-dessous.

 
Directrice de l’Administration Facultaire (DAF)

Audrey MAIGRE 
Tél.: +32 2 555 40 21
daf-esp@ulb.be
Bureau A2.242

Master en Sciences de la santé publique

Morgane ELSEN
Tél.: +32 2 555 40 14
secretariat.esp@ulb.be
Bureau A2.246

Mélissa VAN HUMBEECK
Tél.: +32 2 555 66 45
secretariat.esp@ulb.be
Bureau A2.245
 

Master de spécialisation Méthodes de recherche appliquée à la santé globale

Gaëlle TIBERGHIEN
Tél.: +32 2 764 51 58
info-SPIN2MC@uclouvain.be

Master de spécialisation Médecine du Travail

Catherine VERVERIS
Tél.: +32 2 555 40 13
mtra.esp@ulb.be
Bureau A2.146

 

Master de spécialisation Public Health Methodology

Catherine VERVERIS
Tél.: +32 2 555 40 13
mphm.esp@ulb.be
Bureau A2.146

 

École Doctorale et Doctorat

Blandine MARTIN
Tél.: +32 2 555 40 88
doctorat.esp@ulb.be
Bureau A2.244

 

AESS et CAPAES

Tél.: +32 2 555 40 14
secretariat.esp@ulb.be
Bureau A2.246

Horaires (TimeEdit)

Mélissa VAN HUMBEECK
Tél.: +32 2 555 66 45
secretariat.esp@ulb.be
Bureau A2.245

Crédits éducation payés

Nathalie MOGUET
Tél.: +32 2 555 40 78
nathalie.moguet@ulb.be
Bureau A2.241

Responsable horaires et locaux

Mélissa VAN HUMBEECK
Tél.: +32 2 555 66 45
secretariat.esp@ulb.be
Bureau A2.245

Responsable communication

Yasmina TALHAOUI
Tél.: +32 2 555 40 58
communication.esp@ulb.be
Bureau A2.243

Cellule d'Appui aux centres de recherche 

Nathalie MOGUET
Tél.: +32 2 555 40 78
nathalie.moguet@ulb.be
Bureau A2.241


Pôle Santé

Communication

communication.polesante@ulb.be

Informatique

https://portail.ulb.be/pole-sante-informatique

Réservation d’un auditoire

Myriam DEKERPEL
auditoirespolesante@ulb.be


La fresque murale de Cam Stass


La fresque de Cam Stass a été inaugurée le 6 février 2023 à l'occasion des événements scientifiques et festifs organisés pour les 60 ans de l'École de santé publique.
 
À propos de la fresque

La carte du monde et ses annotations représentent l’analyse et la recherche effectuées par la Santé Publique sur la population dans son ensemble.
Sa vision doit être globale et prendre en considération tous les facteurs qui influencent la vie des communautés, mais aussi comment celles-ci s’influencent entre elles.
Chaque annotation sur la carte représente un mode de vie dans une région du globe. La carte évolue ensuite et inclut une femme enceinte. C’est le symbole de la vie, qu’il faut protéger.
Cette vie est rythmée par des battements de coeur et est formée par l’ADN qui nous représente, au niveau scientifique (deuxième mur).
Enfin, sur le troisième mur, nous voyons deux mains qui englobent notre planète. Elles représentent la protection et la préservation de la vie, de la Terre et de notre futur. Le nuage est synonyme du futur, vaporeux, inconnu, insaisissable.

À propos de Cam Stass

Cam Stass est une peintre et illustratrice belge. Elle a étudié le graphisme et la publicité à l’ESA Saint-Luc Bruxelles et à la HELHa Mons. Elle dessine et peint depuis toujours, et se consacre plus particulièrement à la réalisation de fresques depuis plusieurs années. Son travail représente des scènes de ses voyages et des visions sorties de son imagination. Son inspiration vient de ses voyages, mais aussi de formes et de perspectives : tout se mêle dans son imagination et l’aide à créer sa propre interprétation de la réalité. Elle aime créer des mondes imaginaires, magiques et enfantins, faits d’éléments figuratifs et abstraits.
www.camstass.com



Fresque murale de Cam Stass Fresque murale de Cam Stass


Tour des classes autour du monde


En 2013, pour ses 50 ans, l'ESP a baptisé ses salles de classes du nom des villes qui ont accueilli ou rédigé les plus remarquables conférences, initiatives ou chartes qui ont posé les fondements de la santé publique.
 
Alma-Ata [Kazakhstan]

«La Conférence, soulignant la nécessité d’une action urgente de tous les gouvernements, de tous les personnels des secteurs de la santé et du développement ainsi que de la communauté internationale pour protéger et promouvoir la santé de tous les peuples du monde, déclare ce qui suit : La Conférence réaffirme avec force que la santé, qui est un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en l’absence de maladie ou d’infirmité, est un droit fondamental de l’être humain, et que l’accession au niveau de santé le plus élevé possible est un objectif social extrêmement important qui intéresse le monde entier et suppose la participation de nombreux secteurs socio-économiques autres que celui de la santé». (WHO)

CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES SOINS DE SANTÉ PRIMAIRES
Alma-Ata, 12 septembre 1978
Foyer des étudiants - A2.249
Ottawa [Canada]

En 1986, s’est tenue à Ottawa la première conférence mondiale de promotion de la santé, sous l’égide de l’OMS-Europe et du Ministère de la Santé canadien. La promotion de la santé nous entraîne vers une réduction des inégalités, «l’empowerment» des individus et des populations, le travail intersectoriel, les politiques publiques saines, le développement durable, tout cela dans un objectif de traiter, de manière participative et systémique, les déterminants de la santé et du bien-être.

LA CHARTE D’OTTAWA | 17-21 novembre 1986
Rez-de-chaussée - Local A2.155
Bamako [Mali]

Lors de la mise en œuvre des Soins de santé primaire, il est apparu que le financement était souvent un frein à «la Santé pour tous en l’an 2000». Les ministres africains de la Santé réunis à Bamako en septembre 1987, sous l’égide de l’UNICEF et de l’OMS, lancent une initiative pour relancer et revitaliser le système des soins de santé primaires afin de les rendre accessibles, géographiquement et économiquement, tout en étant équitables pour l’ensemble de la population : c’est l’initiative dite «de Bamako». L’initiative a pour objet de revitaliser les systèmes de santé pour une extension du réseau des SSP, le développement des médicaments essentiels génériques, la mise en place d’un financement communautaire et le contrôle de la gestion par la communauté.

L’INITIATIVE DE BAMAKO | Septembre 1987
1er étage - Local A3.109
Rio [Brésil]

Réunissant 110 chefs d’États et 178 pays, cette conférence a été marquée par l’adoption d’un texte fondateur de 27 principes, intitulé «Déclaration de Rio sur l’environnement et le développement» qui précise la notion de développement durable. Son programme d’action pour le XXIe siècle énumère 2500 recommandations concernant la mise en œuvre concrète des principes de la déclaration. Il prend en compte les problématiques liées à la santé, au logement, à la pollution de l’air, à la gestion des mers, forêts et montagnes, à la désertification, à la gestion des ressources en eau et de l’assainissement, à la gestion de l’agriculture, à la gestion des déchets.

SOMMET DE LA TERRE | Rio de Janeiro, 3-14 juin 1992
Rez-de-chaussée - Local A2.105
Le Caire [Égypte]

En septembre 1994, s’est tenue au Caire la Conférence internationale sur la population et le développement, organisée par les Nations Unies. Des délégations des 179 pays y ont travaillé pour mettre en avant les droits des femmes et des filles, particulièrement en matière de santé. Il a été reconnu que ce droit à la santé passe inévitablement par la reconnaissance de l’égalité des genres, un meilleur accès à l’éducation, la formation professionnelle et l’emploi.

CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LA POPULATION ET LE DÉVELOPPEMENT
Le Caire, 5-13 septembre 1994
Rez-de-chaussée - Local A2.216
Pékin [Chine]

En septembre 1995, Pékin a été le théâtre de la IVe Conférence Mondiale sur les Femmes organisée par l’ONU. La Déclaration et le Programme d’action pour la défense et la promotion de l’égalité entre les sexes ont été ratifiés lors de cette conférence. Parmi d’autres thèmes, ce document affirme la nécessité de garantir à toute femme un traitement égalitaire en matière de santé en promouvant la recherche et en améliorant l’accès aux soins, la prévention et le suivi de ceux‑ci. Ces objectifs d’égalité sont malheureusement toujours loin d’être atteints. C’est pourquoi l’ONU organise tous les 5 ans une rencontre dans le but de réviser ou améliorer les recommandations issues de la conférence de Pékin.

CONFÉRENCE MONDIALE SUR LES FEMMES | Pékin, 4-15 septembre 1995
1er étage - PC en libre accès
Kyoto [Japon]

Le protocole de Kyoto est l’un des plus importants instruments juridiques internationaux visant à lutter contre les changements climatiques, car il précise des objectifs contraignants et quantifiés. Ratifié par l’Union européenne en 2002, il contient les engagements pris par les pays industrialisés de réduire leurs émissions de 6 gaz à effet de serre responsables du réchauffement planétaire. Les émissions totales des pays développés doivent être réduites d’au moins 5 % sur la période 2008-2012 par rapport aux niveaux de 1990.

LE PROTOCOLE DE KYOTO | 11 décembre 1997
1er étage - Local A3.211
Bangkok [Thaïlande]

La Charte de Bangkok pour la promotion de la santé, signée en 2005, souligne l’évolution de la situation de la santé mondiale et s’intéresse aux effets de la mondialisation sur la santé, aux inégalités croissantes, à l’urbanisation rapide et la dégradation de l’environnement, afin de les maîtriser et de parvenir à la santé pour tous. Elle cherche à donner une nouvelle orientation à «la promotion de la santé» en réclamant une cohérence politique et recommande pour cela la formation de partenariats entre les gouvernements, les organisations internationales, la société civile et le secteur privé.

CHARTE DE BANGKOK POUR LA PROMOTION DE LA SANTÉ | Bangkok 2005
1er étage - Local A3.105
Paris [France]

Réunis à Paris le 2 mars 2005, les ministres chargés de la promotion du développement des pays du Sud et du Nord, ainsi que les responsables d’organismes bilatéraux et multilatéraux d’aide au développement, ont pris la résolution de réformer les modalités d’acheminement et de gestion de l’aide au développement. Cela s’est traduit dans un accord international qui définit la nécessité d’harmonisation, d’alignement, de redevabilité mutuelle et de gestion axée sur les résultats de l’aide. Cet accord a été renforcé par le Programme d’action d’Accra qui a été adopté en 2008 afin d’appuyer et opérationnaliser les engagements pris dans la Déclaration de Paris.

LA DÉCLARATION DE PARIS | 2 mars 2005
Rez-de-chaussée - Local A2.104
Copenhague [Danemark]

Copenhague, ville célèbre par sa petite Sirène a accueilli en décembre 2009 la Conférence des Nations Unies sur le Changement Climatique. L’objectif de la conférence était d’établir un nouveau protocole dans la suite de celui de Kyoto expirant en 2012, en vue de stabiliser les concentrations de gaz à effet de serre dans l’atmosphère à un niveau non dangereux pour l’Homme. Cette conférence s’est soldée par un accord à minima, faute de consensus.

CONFÉRENCE SUR LE CHANGEMENT CLIMATIQUE | Copenhague, 7-18 décembre 2009
1er étage - Local A3.155
Brisbane [Australie]

La ville de Brisbane a accueilli, en 2010, la deuxième «International Climate Change Conference». «Le changement climatique et ses implications globales pour les personnes, l’éthique et l’équité» composent le thème général développé lors de ces conférences. Les membres de la «Climate Change Community» se réunissent chaque année. Cette conférence examine les preuves du changement climatique, ses causes naturelles et humaines, ses répercussions écosystémiques et ses impacts humains. La Conférence aborde également la technologie, les réponses sociales, éthiques et politiques du changement climatique.

INTERNATIONAL CLIMATE CHANGE CONFERENCE | Brisbane, 8-10 juillet 2010
1er étage - Local A3.349
Genève [Suisse]

La santé en lien avec l’environnement, l’aide humanitaire et le développement se retrouvent au cœur des préoccupations d’un grand nombre d’institutions genevoises. Parmis elles, l’OMS coordonne le domaine de la santé au sein des Nations Unies. L’OMM aide les communautés locales à mieux planifier leur développement en évitant certaines erreurs stratégiques, comme construire un barrage sur une rivière vouée à l’assèchement. Le GIEC et le PNUE positionnent la question du changement climatique et de ses conséquences sur l’agenda international. Le Fonds mondial soutient les programmes de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme. Le CICR a pour mission de protéger les victimes de conflits armés et d’autres situations de violence, et de leur porter assistance…

OMS Organisation Mondiale de la Santé | OMM Organisation météorologique mondiale | GIEC Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat | PNUE Programme des Nations Unies pour l’Environnement | CICR Comité international de la Croix-Rouge

Rez-de-chaussée - Local A2.151

Tallinn [Estonie]

Signée par 53 ministres européens de la Santé, la Charte de Tallinn engage les États membres de l’OMS-Europe à améliorer la santé de la population par un renforcement des systèmes de santé, tout en reconnaissant la diversité sociale, culturelle et économique qui existe dans la Région. Elle engage à «promouvoir la transparence et rendre des comptes quant à la performance des systèmes de santé dans la production de résultats mesurables». La Charte déclare notamment : «Investir dans la santé, c’est investir dans le développement humain, le bien-être social et la prospérité» ; «Il est inacceptable, aujourd’hui, de devenir pauvre en raison d’un mauvais état de santé» ; «Nous nous engageons à promouvoir les valeurs partagées de solidarité, d’équité et de participation dans les politiques de santé, dans l’affectation des moyens et dans d’autres actions, en veillant à ce que les besoins des pauvres et des autres groupes vulnérables reçoivent l’attention nécessaire».

Charte de Tallinn : des syst èmes de santé pour la santé et la prospérité | Tallinn, 27 juin 2008

1er étage - Local A3.248

Salle de classe Kyoto
Mis à jour le 29 mars 2024